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Préambule

Introduction

Corps de doctrine

Inquiétudes

Résumé

Conclusion

Les annexes de l’article

Christ victime propitiatoire / expiatoire

Livré à Satan

L’Esprit de Balaam

Le péché contre le Saint-Esprit

Le péché qui mène à la mort

Conclusion

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RESUME de l’etude

Dieu « est », « Il est celui qui est », Il a pour nom « Je suis »

Il est tri unitaire. Le Fils est le premier né de toute la création. En Lui tout a été créé. Il est avant toutes choses et toutes choses subsistent en Lui.

Il a créé les hommes à partir d’un seul, Adam. Adam a péché en désobéissant à la voix (voie) de Dieu, et par lui le péché est entré dans le monde. D’où la colère de Dieu, car Dieu est Justice ; colère irrésistible car Dieu est un feu dévorant.

Mais Dieu est Amour. Il veut que les hommes échappent à sa colère, qu’ils en soient sauvés. Or il est bien-sûr impossible à des êtres souillés de se laver de leur souillure.

Et donc Le Fils dit « Voici, je viens ô Père pour faire ta volonté ». Il s’incarna par l’action du Saint-Esprit et fit l’offrande de son corps, pur de toute tache, pour recevoir en sa chair la condamnation réservée aux pécheurs (2 Jean 2 :2), et payer la rançon du salut de ceux qui croiraient, ceux qu’Il s’est choisis avant que le monde soit, ceux qu’Il s’est acquis.

Par Son sang versé à la croix Il les a justifiés, de telle sorte qu’Il les dit désormais « justes », et a initié une alliance nouvelle entre Lui et eux, Ses rachetés.

Ainsi Dieu seul, Père, Fils, et St-Esprit est l’auteur d’un salut qui projette le croyant dans l’immortalité en Sa présence, présence de Celui sur qui tout repose.

(on lira avec profit 2 Timothée 1 :9-10+12).

Dieu est le même hier aujourd’hui et demain. Et donc s’il a déclaré sauvé un individu quelconque Il ne saurait se renier ensuite car ce serait contraire à l’essence de lui- même (2 Timothée 2 :13 ; Nombres 23 :19 ; Malachie 3 :6a ; Romains 11 :29).

De plus « qui accusera ceux que Dieu a choisis ? C’est Dieu qui les déclare justes» (Romains 8 :33). Or personne ne peut être sauvé si Dieu ne l’a déclaré juste. Donc nul ne saurait perdre son salut. C’est ce que le Seigneur lui-même l’affirme :

« Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, comme le Père me connaît et comme je connais le Père » (Jean 10 :14-15)

Et plus loin,

« Mes brebis entendent ma voix ; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira (arrachera) de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir (arracher) de la main de mon Père. Moi et le Père nous sommes un. » (Jean 10 : 27-30)

Ceux qui se réclament de « Jean 3 :16 » sont tenus de croire ces paroles du Seigneur qui nous sont rapportées par l’apôtre Jean. En effet ne répètent-ils pas à l’envi « …afin que quiconque croit en lui ne périsse pas… ».

Or croire en Lui c’est croire en Sa Parole, c’est Le croire, Lui.